Foire aux questions

Alors en général quand quelqu’un écrit sous pseudonyme, c’est qu’il n’a pas trop envie de se présenter. Donc ça sert à rien d’insister. Sachez juste que Κύων (prononcez “Kuon”) signifie « chien » en Grec Ancien. Le mot ayant par exemple donné « cynophilie » ou encore… « cynique ».

L’usage est plutôt au tutoiement sur internet. J’ai donc tendance à faire de même. Mais si c’est pas trop votre truc, faites comme vous voulez. Je suivrai autant que possible.

Non. C’est un pluriel. J’ai bon espoir d’avoir plus d’un lecteur.

Impossible ! Bon, laissez un commentaire quand même au cas où. Je corrigerai si vraiment j’ai dit une bétise. Mais ce serait extrêmement surprenant.

Bon, pareil. Normalement je me relis, mais il peut m’arriver d’avoir la flemme. Donc n’hésitez pas à laisser un commentaire — en m’épargnant votre condescendance, svp. Il peut aussi m’arriver de martyriser délibérément la langue française. Je l’aime beaucoup, mais c’est une relation BDSM. Faites pas attention.

Flûte ! J’y ai passé du temps pourtant. Bon, ben, pareil : laissez un com… euh, non en fait pas de commentaire. Il vaut mieux ouvrir un nouveau ticket en détaillant le problème. Je verrai ce que je peux faire.

Ça dépend de ce que vous entendez par « normal ». Par défaut, les commentaires sont ouverts. Mon temps étant trop précieux pour le consacrer à faire de la modération, je me laisse la possibilité de les fermer, voire de ne plus les afficher, dans le cas où la discussion deviendrait un peu trop vénimeuse. Mais effectivement, ce n’est pas quelque-chose qui est censé arriver.

Étant donné que la loi peut potentiellement me reconnaitre responsable, en tant qu’éditeur du site, de toutes les conneries que vous écrivez : oui.

Pour rappel, sont interdits¹ :

• Les injures (oui, même quand c’est mérité, hélas…) ;
• La diffamation ;
• Les propos faisant l’apologie des crimes des forces de l’axe ;
• l’incitation à la haine raciale (oui, un certain nombre de journeaux en ligne sont manifestement en infraction. Mais ils ont certainement plus de moyen que moi s’ils doivent payer une amende ou un avocat.) ;
• La provocation à commettre des crimes ou des délits ;
• La pornographie enfantine ;
• L’atteinte à la vie privée ;
• L’atteinte à la réputation de mon employeur (vous commencez à comprendre l’intérêt du pseudonyme ?)
• La contrefaçon, qui désigne entre autre la reproduction de contenu soumis à des droits d’auteur (Peine maximale : 3 années de prison et jusqu'à 300 000 euros d'amende². Oui, il est moins grave, en France, de tuer quelqu’un par accident que d’avoir le copier/coller un peu trop facile³.

Pour mon confort personnel, sont aussi susceptibles d’être modérés :

• L’incitation aux haines sexiste, n’importe-quoiphobe ou religieuse ;
• Les gens qui utilisent mes articles comme prétexte pour se défouler ;
• Les gens qui usent de sophismes et de mauvaise foi à tout bout de champ ;
• Dans l’ensemble, tous les gens qui me cassent les gonades.

Je peux tout à fait accepter des articles invités du moment qu’ils me paraissent intéressants. Proposez, je déciderai au cas par cas.

Propose, on verra bien.

Non, désolé. Je n’ai rien contre les échanges de bons procédés, mais je veux que ma webothèque reste une sélection de contenu de qualité pour le lecteur et non un outil de promotion réciproque. Donc si tu mets un lien vers mon site sur ton blog, c’est très sympa et je te remercie. Mais je ne pourrai pas faire plus.

En revanche, si ton site est intéressant, je l’ajouterai sans contrepartie.

Tout mes articles sont sous license creative commons-BY-SA. Vous pouvez donc les réutiliser sans demander la permission, sous réserve de respecter les obligations de la license. En revanche, faites attention : il peut m’arriver d’utiliser du contenu externe, comme des illustrations. Celui-ci est normalement signalé dans les sources en fin d’article. Le contenu qui n’est pas de moi peut être sous une license différente. Il vous appartient de vérifier avant de le réutiliser.

Non :

1. Je suis déjà suffisamment misanthrope comme ça. Je n’ai pas besoin de voir les gens passer leur temps à tenter vainement de prouver aux autres que leur vie est intéressante en étalant toute la médiocrité dont ils ont le secret.
2. Les sites dont vous parlez ne sont pas des réseaux sociaux, mais des plateformes publicitaires : leur activité principale consiste à afficher de la pub. C’est le service qu’ils vendent. Ils ne sont pas là pour vous permettre de vous exprimer. Je déteste la pub. J’ai envie de vomir à chaque fois que j’en vois une. Je ne comprends pas comment les gens qui bossent pour ce milieu réussissent à se regarder dans un miroir. Je ne comprends pas comment les cibles des campagnes marketing supportent d’être prises pour des cons à ce point-là.
3. Je ne suis pas d’accords avec leurs conditions d’utilisation, qu’ils ne respectent, par ailleurs, pas eux-mêmes de toute façon⁴.
4. Vous n’avez pas la main sur ce que vous suivez ou pas sur ces plateformes. Ce sont eux qui décident du contenu que vous voyez ou non⁵. C’est un très mauvais moyen de suivre le contenu que vous appreciez.

Et si jamais vous trouvez sur une de ces plateformes un Κύων, un Kuon, un Cahiers d’errances, ou tout autre nom pouvant suggérer un lien avec mon blog, sachez qu’il ne s’agit pas de moi et que je n’ai rien à voir là-dedans.

Si vous voulez me suivre, utilisez les flux de syndication du site. Si vous ne savez pas ce qu’est un flux de syndication, c’est inquiétant, mais pas surprenant. Ne vous en faites pas, c’est facile. Il vous faut un agrégateur de flux et c’est tout. Vous ajoutez les liens des flux des sites que vous voulez suivre et le logiciel vous préviendra de toutes les nouveautés de tous les sites que vous suivez à l’ouverture.

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